Une eau de réseau optimum

pour l'élevage des virus

 

 

Il existe des terrains sur lesquels ni le liseron ni les orties ne poussent ! Même si on les sème ! Ce sont les terrains acides gréseux, pauvres...

Le rapport avec les virus ? C'est la même chose : notre terrain peut être favorable ou pas à leur développement. Certaines personnes sont insensibles aux virus parce tout simplement leur terrain les inhibe. Alors comment nous créer, au niveau physiologique, le terrain qui nous rendra insensibles aux virus ou aux maladies bactériennes ou fongiques ?

 

La bioélectronique de Vincent est un excellent guide. Tout commence avec l'eau.

Pour les initiés, cela signifie que dans l'eau l'activité du proton peut être élevée (acide) ou basse (basique), et que l'activité électronique peut être élevée (réducteur) ou basse (oxydant). En langage français scientifique anti-oxydant se dit « réducteur ». Dans la suite nous utiliserons aussi ce mot.

Louis-Claude Vincent a observé que différentes catégories d'êtres se développaient au mieux selon la qualité de l'eau dans laquelle ils étaient immergés, ce que résume la figure ci-dessous.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces propriétés de l'eau définissent 4 secteurs : acide oxydant, basique-oxydant, basique-réducteur et acide-réducteur.

Chaque genre a un domaine de prédilection pour s'épanouir : les virus, par exemple préfèrent un milieu basique-oxydant.

Bien sûr ce schéma est « de principe » et la position du mot « virus » ne correspond pas aux valeurs exactes requises, qui varient selon l'espèce. Et dans tous les cas une eau extrêmement basique et extrêmement oxydante détruira le virus.

La bio-électronique de Vincent est actuellement utilisée avec un très grand succès dans l'élevage aquacole1. Chaque espèce possède ses paramètres propres et, s'ils sont respectés, elle prospère magnifiquement (http://www.ideeaquaculture.com/).

Pour nous les humains en bonne santé, quels sont ces paramètres ? Ils ne peuvent être mesurés que dans les fluides du corps : sang, lymphe, urine, salive. Et en ce qui concerne la lymphe c'est très difficile. Nous ne savons pas faire une mesure locale.

Le sang est à peine basique, réducteur avec une variation selon qu'il est artériel ou veineux

Les urines, sont réductrices, acides ou légèrement basiques selon l'heure de la journée

L’intérieur de la vésicule, où un globule blanc stocke ses armes, le chlore, l'eau de javel et l’eau oxygénée, est oxydant, parce que ces produits sont des oxydants.

 

Se protéger des virus par la désinfection :

La vie se construit autour de flux de protons et d'électrons. Les désinfectants sont basiques et oxydants : ils pompent et détruisent ces flux dans les organismes en contact et ceux-ci meurent.

Les virus qui développent dans une zone basique oxydée sont les entités qui résistent le mieux à la pénurie de protons et d’électrons. Ils prospèrent dans ces conditions difficiles qui affaiblissent les autres formes de vie, ce qui leur permet de les utiliser pour se reproduire.

Pour détruire un virus, le milieu basique et oxydant doit l'être extrêmement, ce qui est le cas de nos désinfectants. C'est pourquoi un gel hydro-alcoolique neuf contient une dose non négligeable d'eau oxygénée. Sans cette eau oxygénée, il serait inefficace sur les virus, bien qu'il resterait actif contre les bactéries qui, elles, supportent très mal l'éthanol. Un gel hydroalcoolique actif est, en revanche, nocif pour la peau. En utiliser 10 fois par jour... Bonjour les dégâts !

Agressées par les oxydants, les cellules de la peau font appel à la réserve d'anti-oxydant du corps pour se réparer. Et durant un temps la peau va fonctionner à un niveau d'oxydation plutôt handicapant pour elle. Transitoirement, elle devient un milieu de culture plus favorable pour les virus.

 

Alors pour éviter les gels désinfectants, utilisons plutôt l'eau et le savon. Mais là aussi, il y a un vrai problème : L'eau du réseau est devenue un désinfectant avec un degré d'oxydation énorme !

La bioélectronique quantifie le degré d'oxydation de l'eau sur une échelle de 0 à 42, l'équilibre étant à 28. A rH2=0, l'eau est très réductrice. A rH2 = 42 l'eau est au maximum de sa qualité oxydante. Le rH2 des fluides du corps se situe entre 22 et 26.

Lors de formations en biologie quantique, j'ai mesuré, dans 3 grandes villes : Neuilly sur seine (2018-2019), Bruxelles (2020) et communauté de communes de Lille (2017), des rH2 entre 38 et 42 . À ces valeurs-là, ce n'est plus de l'eau, c'est du désinfectant. Bien sûr, en laissant l'eau à l'air libre durant 2 h, un rééquilibrage se fait avec l'air, et le rH2 baisse à 36, ce qui est toujours beaucoup trop élevé pour de l'eau de boisson.

Et la douche ? La peau subit un choc oxydatif en direct, mais aussi (et surtout?) les poumons en inhalent les vapeurs émanantes. Cette eau-là, tellement oxydante, affaiblit les poumons, et les met en bonne condition pour une infection, virale pour commencer, et bactérienne pour continuer...

Les personnes qui prennent leur douche le matin avant de sortir sont beaucoup plus vulnérables aux virus, par exemple le Covid19, car, au contraire de celles qui se douchent le soir avant de se coucher, elles n'ont pas eu du temps de se remettre du stress oxydatif.

Jusqu'à la mi-mai 2020, ici à Saverne, je nous trouvais chanceux, notre eau étant modérément oxydée avec de rH2 entre 30 et 32. Mais une mesure de routine le 10 juin 2020, à 17h30, indique un rH2 de 37,3. Notre petite ville n'est plus épargnée.

Cette découverte m'a émue. En prenant de l'âge, le corps s'oxyde. C'est normal. Pour fonctionner, il tire l'énergie des sucres, du gras par l'oxydation. Il est donc important que le corps puisse renouveler son stock d'anti-oxydants, grâce à l'ingestion de végétaux fraîchement ramassés, pour palier à son oxydation. Oui mais s'ils sont lavés avec une eau oxydante ? Forcément, ils perdent une partie de leur qualité.

Si en plus notre toilette se fait avec une eau tellement traitée qu'elle en devient un désinfectant, toutes les maladies de dégénérescence liée à l'âge, cancer inclus, sont favorisées en plus des problèmes de virus.

Comme il se trouve qu'outre les formations de biologie quantique, je forme aussi les traiteurs d'eau sur les méthodes alternatives à la chimie :les traitements physiques de l'eau, un dispositif a été promptement mis en place. Ce matin du 3 juillet, l'eau du robinet traitée a un rH2 de 27,8. Cette valeur, très correcte, devient excellente quand elle est comparée au rH2 de l'eau à l’entrée du réseau de la maison : 40,3 !!!!

 

Pour conclure :

Pourquoi le Covid 19 atteint très peu les jeunes enfants, et peu les jeunes personnes ? Parce que leur terrain est acide réducteur, ce qui ne convient pas du tout aux virus !

Pourquoi les maladies virales atteignent-elles les personnes avec une pathologie artérielle, ou une maladie auto-immune, ou diabétiques ? Parce que, localement, l'inflammation provoque une oxydation qui est une porte d'entrée. Avec l'âge ces pathologies sont de plus en plus fréquentes et le terrain devient plus oxydé. L'infection virale fait plus de dégâts. Les personnes âgées avec un bon terrain restent préservées. Et les jeunes qui sont gravement malades ont un terrain dégradé, de façon transitoire ou permanente.

En société, il importe de respecter son voisin en évitant de lui souffler une haleine (contaminante?) au visage, mais la désinfection répétée des mains est contre-productive. Et la transformation de l'eau sanitaire en désinfectant est un vrai problème.

Pour parer à l'abus des désinfectants par les autorités, consommer les anti-oxydants en vente libre est une solution à utiliser avec discernement : un terrain trop basique et trop antioxydant fait le lit des infections bactériennes! La bonne santé est au point d'équilibre.

Il n'y a pas une recette miracle pour tous. Il y a le juste équilibre pour chacun. Serait--il possible de ressentir l'équilibre relatif à sa bonne santé comme nous ressentons notre équilibre physique dans la posture yogique de l'arbre ?

 

 

Saverne le 06/07/2020 Sylvie Henry Réant

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